Notre philosophie de gestion repose sur la finance comportementale

La finance comportementale

La finance comportementale est la seconde branche de recherche appliquée aux marchés financiers, après, chronologiquement, la recherche définie comme classique ou néo-classique.

La finance comportementale utilise des éléments des sciences humaines comme les mécanismes de la psychologie de l’individu ou  la théorie des cycles financiers, économiques et sociaux. Elle se distingue de la finance classique en supposant a priori que les comportements des agents économiques ne sont pas toujours rationnels.

La finance comportementale est désormais étudiée par les régulateurs et a fait l’objet de multiples reconnaissances académiques.

Notre expertise

Notre équipe a accumulé une expérience pratique de près de 20 ans en application de cette discipline dans la décision d’investissement de désinvestissement sur les marchés financiers. En termes d’organisation, nous tirons profits d’un ensemble de modèles sur deux plans :

– L’analyse du contexte global de chaque actif pour évaluer s’il dispose d’éléments favorables à la hausse de son prix, qu’il s’agisse de la perspective économique ou de l’anticipation que la foule nourrit à son sujet

– L’analyse de nos propres comportements en vue de limiter tant que possible les biais auxquels chaque investisseur et gestionnaire est nécessairement soumis

Notre processus en détail

Nos gérants mènent, avec l’appui de cabinets de recherche indépendants, un travail d’analyse sur 4 niveaux :

  1. Le contexte économique : à l’aide de recherches externe, les gérants mènent un travail prospectif pour évaluer le niveau d’activité économique par zone géographique à horizon 6 à 24 mois
  2. L’évaluation du sentiment : sur la base d’un modèle propriétaire, les gérants interprètent les données de marchés de type consensus, sondage, détention d’options pour évaluer la capacité de la collectivité à accueillir le scénario prévu ci-dessus
  3. La sélection d’actifs : à l’aide de recherches externes, les gérants retiennent des groupes d’actifs, sectoriels ou nationaux, qui correspondent à l’anticipation du contexte économique telle que celle-ci peut être perçue par le consensus.
  4. La gestion du risque : pour chaque actif sélectionné, les gérants évaluent le rapport entre l’espérance de gain et le risque de perte pour ne retenir finalement que les actifs les plus adaptés à la stratégie.